Chapitre 2252
Ils avaient les preuves et devaient chercher d’autres indices, ils n’étaient donc pas prêts à passer plus de temps
dans la villa de Denise.
Avant de partir, Amadou a dit à Denise :
Mme Denise, je vous suggère d’aller à l’Hôpital du peuple maintenant.
Denise a acquiescé et a dit sérieusement :
–
Merci, M. Amadou, je vais préparer mes affaires et j’irai directement à l’hôpital.
Amadou a dit ensuite :
– Je vais retourner à l’équipe et organiser une réunion avec mes collègues, je vous tiendrai au courant de
l’évolution de l’enquête, et si vous vous souvenez de nouvelles pistes, tenez-moi au courant, s’il vous plaît.
Follow on NovᴇlEnglish.nᴇtOui, d’accord. Merci M. Amadou !
Denise l’a remercié et a raccompagné les policiers jusqu’à la porte.
Plusieurs voitures de police sont parties l’une après l’autre.
Avant que Denise ne puisse retourner à la maison, Clément est arrivé devant la porte de Denise dans la BMW de
Kyan.
Clément a vu que Denise était à la porte et s’est arrêté devant elle.
Dès que la voiture a été garée, il s’est empressé d’en sortir et a demandé:
– Denise, que se passe-t-il ?
Touchée, Denise se sentait reconnaissante envers Clément.
En regardant le beau visage de Clément, Denise se sentait un peu plus détendue, mais en même temps, elle se
trouvait soudain sur le point de perdre le contrôle de ses
émotions.
Denise était toujours une femme forte, mais au fond d’elle, elle n’était qu’une petite
fille.
Elle avait tenu si longtemps seule face à une accident si importante et elle était maintenant au bout du rouleau.
Elle aussi avait envie que quelqu’un l’aide.
Aussi, dès qu’elle a vu Clément devant elle, Denise avait envie de le serrer dans ses bras et de pleurer.
Mais Denise a essayé de se retenir avec peine et s’est dit:
<< Non…. Pas question, c’est mon patron… C’est mon patron… et c’est le Maître Clément… comment puis-je
imaginer le prendre dans mes bras…»
En y pensant, Denise a chuchoté, les yeux rougis:
– Mon père a déjà été admis à l’Hôpital du peuple pour une insuffisance rénale aiguë… J’ai toujours pensé que
c’était le rein qu’on lui avait greffé qui était en cause, mais aujourd’hui j’ai compris que quelqu’un l’avait
délibérément empoisonné…
Follow on Novᴇl-Onlinᴇ.cᴏmClément lui a demandé :
– Et comment va ton père maintenant ?
Denise a étouffé des sanglots:
—
Il ne va pas bien ces derniers temps, le médecin a dit qu’il devrait être opéré dans quinze jours maximum, mais il
est Rhésus négatif et les chances de trouver un rein compatible dans un délai aussi court sont très minces
Clément a acquiescé et a dit :
– Monte dans la voiture, je t’accompagne à l’hôpital du peuple!
Denise s’empressait de dire:
–
Maître Clément… Je ne peux pas vous demander de faire ça…
Clément a dit sérieusement:
– Denise, ton père souffre d’un empoisonnement, pas d’une insuffisance rénale
normale!
– Le médecin t’a dit aujourd’hui qu’il ne lui restait que quinze jours, demain ce sera peut-être dix, voire cinq !
– Il nous est presque impossible de trouver un rein convenable en si peu de temps!