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HOMME INACCESSIBLE

Chapter 3755
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Chapitre 3755

Bien que Bernard soit rempli de colère en ce moment, au fond de lui, il a déjà accepté son

sort.

Il était un pionnier du marketing de la faim, ayant gagné des milliards en utilisant cette

stratégie unique.

+10 Bonus:

Il comprenait parfaitement que la confiance des vendeurs à demander aux

consommateurs de dépenser davantage avant d’acheter ce qu’ils désiraient réellement

reposait sur la certitude absolue envers leurs produits très demandés.

Une fois conscients que les consommateurs étaient prêts à tout pour obtenir ces articles,

les vendeurs avaient suffisamment confiance pour faire payer en premier les produits

moins prisés ou moins populaires.

Ainsi, pour un sac valant des dizaines de milliers, ils demandaient 20 000 euros de

consommation en avance, tandis que pour une montre valant plus de

20 000, ils demandaient 40 000 à 50 000 de consommation anticipée. C’était une

manipulation habile de la psychologie des consommateurs, visant à en tirer le maximum

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d’avantages.

Maintenant, Bernard désirait ardemment des Pilules de Renouveau, alors il ne pouvait que

serrer les dents et accepter ce mode de vente.

Après tout, on ne pouvait pas faire le mal impunément.

Avec cela à l’esprit, il a acquiesce et a dit à Clément coupablement :

– D’accord! 200 millions, c’est ça !

Clément a hoché la tête, satisfait, et a dit calmement:

– Plus tard, Édmond de l’Hôtel Buckingham te fournira les détails de notre compte. Tu

pourras organiser le transfert de l’argent directement.

– D’accord.

Bernard, impuissant, réprimant sa colère, a ajouté:

– Je vais organiser le paiement dès que possible…

Clément a souri légèrement et a conseillé :

– M. Bernard, il serait préférable d’être honnête en affaires à l’avenir. Vends tes produits

au prix que tu as fixé, sans toujours chercher à réaliser des profits supplémentaires en

exploitant le marketing de la faim. Comme on dit dans notre pays, faire trop de choses

inéthiques nuit à la réputation et est préjudiciable aux générations futures.__

Bernárd a protesté avec colère :

– N’est-ce pas ce que vous faites aussi ?

Clément a ri et a répondu :

– Notre patron a déjà déclaré que dès que l’argent sera déposé sur le compte de l’Hôtel

Buckingham, il ne prendra pas un centime. Tout sera donné au programme d’amélioration

de la nutrition pour les élèves ruraux de notre pays. Donc, la différence entre toi et lui,

c’est qu’il accomplit une bonne action, tandis que tu t’engages dans quelque chose

d’inéthique. Il prend aux riches pour aider les pauvres.

Bernard a demandé, les yeux grands ouverts:

– Qu’est-ce que c’est, ce programme?

Clément a répondu d’un ton calme:

– C’est un plan du gouvernement pour aider les élèves dans le besoin, surtout ceux de

l’enseignement obligatoire. Chaque jour, ils reçoivent environ 1 euro pour leur repas. Plus

de 20 millions d’élèves des régions rurales en bénéficient. En calculant le coût d’un

déjeuner à 1 euro par jour, ton paiement pourra offrir des repas à 1,4 million d’enfants des

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campagnes pendant presque 5 mois. C’est une action louable.

Puis Clément a ajouté:

– Mais, tu n’as rien à voir avec ça, à moins que tu ne veuilles donner volontairement 200

millions de plus.

Bernard, inquiet, a demandé :

– Devrais-je faire un don aussi ?

A ce moment-là, Bernard se sentait comme si le monde s’effondrait. Sa plus grande

crainte était maintenant d’être non seulement contraint de payer beaucoup plus pour la

participation à la vente aux enchères, mais aussi de devoir faire un don.

Voyant la panique dans son regard, Clément a esquissé un sourire moqueur et a dit :

– M. Bernard, pas la peine de paniquer autant. Si tu ne veux pas donner, personne ne t’y

forcera. Après tout, chose faite par force ne vaut rien. Bernard a poussé un soupir de

soulagement.

La chose qu’il abhorrait le plus dans la vie était de faire des dons.

A ses yeux, l’argent était gagné durement et pouvait être dépensé de toutes les manières,

sauf en charité.

Accepter de débourser 200 millions de plus était déjà une perte considérable, alors il

refusait de dépenser un centime de plus.

Néanmoins, ces 200 millions lui faisaient mal pendant longtemps.