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Chapitre 3871
Gisèle a acquiesce et s’est souvenu soudain de quelque chose et a demandé à Clément,
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-Maître Clément, cet orphelinat, à qui vas tu confier sa gestion? Est–ce qu’on va embaucher quelqu’un
une fois que tout sera construit ? Clément a hésité un instant et a répondu :
–
-Personnellement, j’ai plutôt tendance à confier la direction à l’un de personnel de l’orphelinat où
habitais. C’est elle qui s’occupat de moi
quand j’étais petit, et elle était très gentille avec moi, et elle est aussi très instruite, donc d’après ce que
je sais d’elle, ette devrait être capable d’assumer le poste.
Sur ce, Clément a soupiré :
Seulement, elle est partie au Canada pour sa retraite et je ne sais pas ce qu’elle en pense.
Gisèle a réfléchi un moment et a dit :
– Maître Clément, ce projet est très important, même si nous n’avons aucun problème de fonds, il
faudra au moins deux à trois ans entre le choix du site et le début de la construction, avant
l’achèvement du projet, puisque tu es enclin à choisir quelqu’un que tu connais, nous aurons pas mal
de temps pour le faire.
–
– Voilà.
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Clément a hoché la tête et a dit:
– Il suffit de communiquer d’abord avec les départements concernés sur le programme, nous
choisirons d’abord le site dès que possible, et ferons préparer la conception du projet !
– D’accord.
Gisèle a dit :
–
– Je vais aller communiquer des que possible.
En pensant à Léa, Clément avait l’idée de lui téléphoner, ainsi qu’à Camille, pour prendre de leurs
nouvelles,
Léa et Camille étaient installées à Vancouver, et il y avait un décalage horaire entre elles et Clément. Il
devait être environ six heures de l’après-midi, il n’irait donc pas troubler leur repos en les appelant
maintenant.
Clément a dit à Gisèle:
– Gisèle, je vais d’abord passer un coup de fil.
– D’accord Maitre Clément.
Clément a composé le numéro de Camille.
L’appel était rapidement pris et Camille e ravie:
– Clément, pourquoi m’appelles–tu tout d’un coup?
Clément a souri,
– Léa et toi m’avez manqué, alors j’ai appelé pour savoir comment vous allez au Canada, et comment
allez–vous?
Camille a ri,
– On est bien ici, je travaillais dans une blanchisserie, et Léa cultivais des fleurs et des légumes dans
la cour tous les jours. L’ancien employeur
de Léa lui donnait beaucoup d’argent tous les mois, mais Léa voulait vivre une vie plus épanouie, et
elle a de plus en plus d’argent sur son compte, alors Léa a ouvert une supérette, et je suis le gérant et
fencaisseur de la supérette!
Clément s’est étonné:
– Tu as ouvert une supérette? Il ry a que toi et Léa?
Camille a dit:
Au début, il n’y avait que nous deux, puis on a maintenant trop de travail, alors on a embauché un
autre employé,
Clément a demandé:
– Tenir une supérette, ça doit être épuisant ?
– Ça va.
Camille a ri,
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-Notre supérette rest pas très grande, et nous avons un fournisseur fixé, donc il nous suffit de passer
un coup de fé pour que les marchandises solent livrées à la supérette, et nous n’avons pas besoin de
les porter nous–mêmes. Moi, mon travail quotidien est aussi très simple, je me contente de travailler
comme un caissier, de placer les marchandises, de faire le ménages, et pas grand chose d’adre.
Camille:
– Léa prend ce magasin très au sérieux, et elle traite tout le monde tres poliment, alors même si le
magasin rest pas ouvert depuis longtemps, Il a déjà pas mal de fans fidéles!
Clément a demandé:
– Léa est là ? Je veux parler avec
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Camille a dit:
Léa aide à la halte–garderie du quartier.
La halte garderie ? a demandé Clément avec curiosité,
Qu’est–ce que c’est ?
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